Une nouvelle corde à l'arc des Arts des Ruelles


Clément Rossat - Luthier en guitare







C’est à l’âge de 14 ans que Clément Rossat découvre et commence à pratiquer la guitare en école de musique.

Après 4 ans d’apprentissage et poussé par son professeur, il décide de rentrer au conservatoire de Bourgoin-Jallieu puis à L’école nationale de musique de Villeurbanne (ENM).

Durant ces trois ans d’école il exerce en parallèle le métier de professeur de guitare, une expérience complémentaire et riche de sens.







Pendant ce temps l’idée de devenir luthier germe avec l’envie de créer une identité sonore et visuelle propre à ses futurs instruments. Il effectue ses premiers stages chez des luthiers et se lance dans la fabrication de sa première guitare.

En 2011 il intègre l’atelier de Philippe Berne par le biais de l’Institut Régional pour les Métiers d’Art et la Création Contemporaine (IRMACC).






Aujourd’hui installé à Vienne, il vous accueille dans son atelier où il fabrique, répare et règles vos instruments.








"La fabrication artisanale des guitares est un véritable travail de création, à la fois dans l’esthétique visuelle de l’objet et dans la recherche du son de l’instrument de musique. Il demande de la précision et beaucoup de patience".







Les instruments que vous pourrez découvrir sur mon stand sont des créations personnelles. Je créé des guitares manouches (entrée de gamme, concert et nylon), des guitare Jazz Flat top et Jazz Archtop, ainsi que des Folk.





Je fais aussi le réglage et les réparations sur tous types de guitares, ainsi que la restauration d’instruments anciens.



Clément Rossat Luthier Guitare


06 76 77 28 02

16 rue des Clercs
38200 Vienne






Isabelle de Becdelièvre - Les Arts des Ruelles 2018




Peintre-Graveur Isabelle « navigue » entre couleur et dessin.









Ses modes d'expressions sont variés.

Sa pratique du dessin est le fondement de son travail et le commencement de tous ces projets et réalisations artistiques. 


Elle explore aussi avec passion tout autant le domaine de la peinture , gouache, pastel... que celui de la gravure, eaux-forte...














Si l'on se penche sur ces dessins, monotypes ou peintures, vous trouverez une même constance.

Sa quête de la lumière demeure.

Confrontation entre ombre et lumière ou lumière intérieure restent présentes.








Son travail graphique et picturale lui permettent de capter un mouvement, une expression, de saisir un instant de vie, un frémissement de l'être, de la nature, de fixer une lumière éphémère ou de traduire une émotion passagère .










Tout ce qu'elle côtoie, vibre, raisonne en elle et devient source d'inspiration.








   Il n'y a pour elle ni de petits, ni de grands sujets...






Elle expose régulièrement depuis 2000 seule ou en groupe  et participe à des Editions de livres d'Artistes avec les graveurs de l'Empreinte, en lien avec des écrivains contemporains.













Diplomée de l'école des Arts Décoratifs de Strasbourg, section sculpture


Participe aux livres d'artistes de l'Empreinte : La Route, le Bestiaire, Frontière, Envol et Lyon traces pour demain.




















isa.debecdelievre@orange.fr

http://www.lempreinte-gravure.com/becdelievre.html




Atelier Porte 7 - Maryse Grousson - Les 7 et 8 avril aux Arts des Ruelles




Portrait de peintre en forme d’autoportrait.








Un                        Traverser la lorraine sans sabots

Deux                    Arpenter le Louvre et Paris depuis un lycée d’arts graphiques

Trois                    Rencontrer l’Afrique et les Beaux-arts à Abidjan

Quatre                Naviguer de l’école aux ateliers de rue en passant par la prison de femmes de Lyon        et les institutions psycho gériatriques

Cinq                     Toujours s’intéresser à l’humain, petit ou grand

Six                        Suivre un fil d’Ariane : peindre, graver, dessiner, écrire, photographier ou                     raconter des histoires…

Sept                     Transmettre et aimer voyager










La peinture ne se choisit pas elle vient un jour comme la mer va au marin ou l’écriture à celui qui doit écrire. C’est une sorte de nécessité qui s’impose au fil des jours, des semaines voir des années. 

Après coup les autres disent :  « bien sûr toute petite déjà … », mais ce ne sont pas les autres qui choisissent pour le peintre.

C’est quelque chose entre le silence, la couleur, la forme et le temps qui prend corps. Parce qu’en fait la peinture existe par elle-même au plus profond du peintre, comme la poésie dans le cœur du poète.









Un bouillonnement d’images entremêlées et cachées qui se bousculent parfois pour arriver sur la toile.

Au début, il y a une forme de plaisir pour le jeu de la découverte, chaque page blanche est le terrain d’une aventure. Puis arrive un temps où le peintre sent parfaitement que c’est la nature qui le saisit, que la peinture, avec un grand P est ailleurs.

Monet disait quelque chose comme : « à travers le paysage c’est à la recherche d’un autre paysage plus absolu vers lequel je tends ».







A force de remettre au quotidien sans cesse l’exercice de peindre, avec en soi cette nécessité profondément vissée, émerge un jour cette réalité propre au créateur :

L’image qu’il recherche est à l’intérieur, nourrit de toutes les images extérieures, du soleil qui réchauffe ou du froid de l’hiver, du bruit des bourgeons qui éclatent au printemps ou de l’eau de mer qui remplit les oreilles lorsque l’homme se prend pour poisson….








Patiemment et le plus possible de paix au cœur, l’artiste se remet en marche pour cueillir sa récolte.

Il découvre une à une les images comme un aventurier découvre de nouveaux horizons.

Certaines fois il entre dans une veine, comme une strate qui n’attendrait que sa venue pour être exploitée, à d’autres moments, ce sont de petits électrons libres et isolés qui arrivent et se couchent sur le papier par l’intermédiaire de la gravure ou du monotype. Ainsi gardant toujours entre ses doigts le fil d’Ariane qui est le sien, sans bien chercher à tout comprendre il va son bonhomme de chemin. Juste derrière lui, comme son ombre, le facteur temps prend des notes pour écrire l’histoire.

Le peintre s’en amuse, son cœur est resté « enfant », et les histoires il aime çà !

Maryse Grousson








https://atelierporte7.fr/

http://maryse.grousson.pagesperso-orange.fr/index.html




Isabelle Winckler


Parurière florale, Créatrice de fleur en soie







Autodidacte,
Isabelle Winckler a pratiqué, exploré et expérimenté différentes disciplines des arts textiles,
 avant de trouver sa matière de prédilection : la soie.






Aujourd’hui sa créativité exprime ce qui l’inspire au plus haut niveau : 

la nature, le travail des petites mains
la magie de la Haute Couture.






C’est en 2014 que la créatrice découvre le merveilleux métier d’art de « Parurier Floral ».
Plus qu’une passion, c’est une révélation.
Elle consacre près de deux années à perfectionner sa technique avant de créer son activité.







Fleurs bijoux, fleurs décoration…, en partant d’une soie naturelle, 
Isabelle Winckler crée des parures florales
pour tous les évènements privés, les métiers de la mode, du spectacle,
travaille sur-mesure et crée ses collections. 







A la recherche de l’élégance, toutes ses créations sont le fruit de son imagination, chaque éclosion de fleur… une émotion !







Venez découvrir ce métier rare et l’univers poétique de la Créatrice !

Isabelle Winckler présentera ses créations florales et partagera avec les visiteurs sa passion et son savoir-faire au travers de démonstrations.








En savoir plus : www.paruriereisabellewinckler.com




Art des Ruelles 2018 - Alain Poyet









Jouer avec les matériaux, les textures, les accessoires... Choisir un cuir pour sa couleur, sa souplesse et la finesse de son grain. Créer un objet singulier, unique, qui accompagnera ses clients pendant de longues années...








Depuis 1981, Alain Poyet vous propose un choix d'articles de maroquinerie fabriqués dans son atelier à Saint Etienne avec l'aide de son épouse, à partir de peaux provenant de tanneries françaises.










Habité par la passion du cuir depuis 1979, j'ai suivi une formation chez un artisan sellier maroquinier stéphanois. Mon examen en poche, je franchis le pas et donne naissance à la maroquinerie Poyet, sise 99 rue Bergson dans ma belle ville de Saint Etienne.











Nous vous proposons un choix de sacs, serviettes, ceintures et différents accessoires  réalisés dans des cuirs pleine fleur tels que le veau, la vachette, le taurillon…









dans un large éventail de coloris, notre plus c’est d’harmoniser les couleurs ce qui vous permet de porter une pièce unique créée selon vos goûts.






















Arts des Ruelles 2018 - Nicolle Chovet Jarousse



L'édition 2018 vous réserve des surprises et de nombreux exposants.

Bienvenue aux nouveaux arrivants, aujourd'hui nous vous présentons : 


Nicolle Chovet Jarousse et ses bijoux émaillés





Harmonies colorées du métal émaillé opposées à la sobriété de l'argent : mes bijoux allient le cuivre, l'argent massif et l'émail.
Ils sont fabriqués entièrement à la main à partir du métal en plaque ou en fil, avec les techniques et outils traditionnels de la bijouterie : bocfil, laminoir, filière, chalumeau, forge.... 
Les émaux sont des poudres de verres colorés, apparentés au cristal. Déposés sur le bijou et cuits au four à 840° ils se vitrifient et deviennent brillants. 








Tous mes bijoux sont des pièces uniques. 
Ils ne sont pas reproductibles à l'identique. 
L'argent est revêtu du poinçon de responsabilité.








Mes recherches actuelles portent sur le fold forming
Pour bâtir mes bijoux je pars de cuivre en plaque que je découpe au bocfil (la scie du bijoutier à lame très fine), 








La technique du fold forming (littéralement formé avec des plis) exploite la capacité du cuivre à être étiré, déformé, martelé, plié, déplié sans se rompre : on dit qu'il est ductile.
Pendant ces opérations le cuivre s'écrouit, il devient cassant. Il faut alors le recuire au four ou au chalumeau pour qu'il retrouve sa souplesse. Selon la complexité de la pièce, plusieurs recuits peuvent être nécessaires avant d'arriver au volume et à la forme souhaités.








Ensuite vient le temps de la mise en couleurs avec l'émail, poudre de verre coloré que l'on dépose sur le métal soigneusement décapé. 
Et puis on joue avec le feu : à une température de plus de 800° les émaux entrent en fusion et se vitrifient.








Opaques ou transparents le nuancier des couleurs est vaste ! Superposition de tons et cuissons multiples produisent une palette infinie et capricieuse à laquelle s'ajoute parfois les oxydations du cuivre.








La lumière traverse les différentes couches colorées et transparentes pour venir se réfléchir sur le métal (cuivre ou argent) modifiant la couleur que notre œil percevra.

Un travail minutieux et passionnant !







http://bijouxncj.blogspot.fr/

bijoux.NCJ@gmail.com